L’opposant Ousmane Sonko est au plus mal.
Sa notoriété bâtie sur les fake news ,les agressions verbales et la manipulation de jeunes poussés à la violence, est en train de s’effondrer sous les coups de boutoirs des forces de l’ordre et de la justice.
Tous les jeunes vandales qui se réclament de Sonko, sont traqués,arrêtés et mis hors d’état de nuire.
Les cerveaux maléfiques qui orchestraient la manipulation ,sont aussi dans l’œil du cyclone, débusqués et présentés aux juges.
Ainsi l’action vigoureuse des forces de l’ordre a permis de démanteler les structures de propagande délictuelle (appels à l’insurrection, mensonges et calomnies relayés par Internet).
Du coup Sonko voit le ciel lui tomber sur la tête.
Sa dernière trouvaille : « passer pour un homme malade », a capoté lamentablement ,car malgré son séjour à la clinique SUMA ,aucun médecin n’a déclaré l’avoir consulté .
Par conséquent ,aucun certificat médical ne lui a été délivré.
Sa maladie imaginaire reste sans nom, ni identification et le malade se fait rare.
Ses lieutenants comme El Malick Ndiaye, chargé de la communication de son parti (Pastef), est placé sous contrôle judiciaire avec port d’un bracelet électronique ; le maire de Keur Massar Sud, Bilal Diatta est sous mandat de dépôt ,comme de nombreux militants violents ,pris la main dans le sac, ou l’injure à la bouche avec des déclarations insurrectionnelles ,ou pire.
Ceux qui se croyaient introuvables ,ont été cueillis ,placés en garde à vue et déférés.
L’Etat de Droit se déploie pleinement ,si l’on peut dire, pour garantir la sécurité des citoyens, en faisant échec aux pilleurs, agresseurs et pyromanes qui s’adonnent à toutes les actions violentes, au nom de la « résistance factice » prônée par leur gourou, Sonko.
Jeudi 30 mars ,Sonko a rendez-vous avec l’homme qu’il a accusé « d’avoir été épinglé dans un rapport de l’IGF (Inspection générale des finances),au tribunal.
Ce sera ,pour la troisième fois, les deux premiers, l’accusateur ayant créé des « scènes de ménage » et autres incidents de séance, pour empêcher le déroulement du procès.
Cette fois-ci ,il n’y aura pas d’échappatoire.
Il devra sortir le « rapport » ou admettre son mensonge… ET SUBIR LES RIGUEURS DE LA LOI.
Ce premier procès est simple et tout le bruit orchestré par Sonko n’avait pas lieu d’être .
S’il avait un « rapport authentique » !
Mais, à l’évidence ,il n’a rien, puisque le « rapport » n’existe pas.
Par contre le mensonge existe ,la calomnie, aussi, et par voie de conséquence : le délit de diffamation.
C’est ce qui explique tout le cinéma inventé par Sonko et ses avocats pour éviter le procès.
Ce sera peine perdue, car l’Etat de Droit sait se faire respecter et se mettre au service de tous les citoyens. De manière égale !
Le ministre Mame Mbaye Niang défend son honneur contre un calomniateur.
L’heure de vérité sonnera dans la salle du tribunal, en audience spéciale.
Elle va sonner ,une fois encore, lors du procès qui va opposer Sonko et Adji Sarr qui l’accuse de viols et de menaces de mort.
C’est dire que Sonko va être un habitué du chemin des prétoires. C’est bien lui qui l’a cherché par ses déclarations fausses et ses fréquentations douteuses.
D’ailleurs des membres fondateurs de son parti, viennent de claquer la porte,pour s’insurger contre son « utilisation des jeunes à des fins personnelles ».
C’est ainsi le début d’une implosion qui risque de ne laisser de Pastef que des ruines, des cendres .
Sonko est un homme immature. Il a voulu porter des habits trop grands pour lui.
N’est pas leader qui veut.