Jean Ping va devoir boire le calice jusqu’à la lie. En effet dans sa fuite en avant névrotique, il se perd dans ses déclarations et pire dans ses calculs. Il est maintenant établi que le candidat malheureux, Jean Ping n’a pas tous les procès-verbaux du Haut-Ogoué.
Sur le total de 297 procès-verbaux, Jean Ping n’en a que 174. Et sur les 174 dont il dispose, seule une centaine est exploitable. Les autres ne l’étant pas, faute de lisibilité, ou pire parce qu’il s’agit de faux grossiers.
Ce n’est pas par hasard que Ping et ses complices ivoiriens se sont attachés les services de hackers pour « rassembler des données électorales » dixit YEO pirate informatique arrêté par les forces de sécurité gabonaises et présenté à l’opinion publique internationale.
On les voit les allégations des partisans de Ping concernant le Haut-Ogoué ne sont pas étayées et ne peuvent pas l’être. C’est une énième tentative des vaincus d’essayer de jeter le trouble pour susciter des interrogations sur la sincérité du vote.
Il s’agit aussi pour eux de faire beaucoup de bruit pour faire oublier les grossières manipulations opérées dans d’autres localités par eux-mêmes pour faire gagner Ping avec des scores surréels de 100%.
Il y a aussi d’autres anomalies comme dans la province de l’Estuaire, dans le deuxième arrondissement de Libreville où un procès-verbal a été signé par un représentant de Ping pour le compte du président de la commission membre du camp de l’opposition.
Ping est bien le voleur qui crie au voleur. Il n’est pas crédible.
Ses propres reniements en sont une preuve irréfutable : n’avait-il pas accusé la Cour constitutionnelle de tous les maux ? Pourquoi alors déposer un recours après avoir crier sur tous les toits qu’il ne le ferait pas ?
Un homme d’honneur n’agit pas ainsi. Un homme qui sollicite la confiance de ses concitoyens, non plus.
Ping n’est pas seulement en manque de PV, il est en souffrance de crédibilité, en déficit d’honnêteté et en désespoir de cause. Il a tout tenté en vain. Les Gabonais ne veulent pas de lui, quelqu’un qui a déjà mangé à tous les râteliers et qui pourrait remettre en cause la souveraineté nationale.
La Cour constitutionnelle ne tiendra aucun compte de ses menaces vaines. Elle dira le droit et consacrera la victoire du président Ali Bongo.