Les grands rendez-vous internationaux sont toujours des opportunités pour les chefs d’Etat  de poser des actes diplomatiques importants.

Les Présidents du Sénégal et des Emirats arabes unis l’ont illustré à Sharm El Sheikh ,en Egypte où se tient actuellement le sommet mondial sur  le climat.

 

Des photos de ce moment de discussion en aparté ,sont disponibles et  révèlent des relations personnelles profondes.

Il faut s’en féliciter car cela profite aux deux Etats qui développent une coopération diversifiée et qui se renforce de plus en plus.

 

Sur deux plans convergents : entre Dakar et Abu-Dhabi (dont Sheikh Mohamed est l’Emir) et entre le Sénégal et les E.A.U dont Sheikh Mohamed est le président.

A Sharm  El Sheikh où se joue le destin de la planète, l’Asie et l’Afrique sont au rendez-vous, avec l’Europe ,les Amériques et l’Océanie.

Le réchauffement climatique est bien un défi majeur pour l’humanité dont beaucoup de leaders ont conscience.

Mais ,il y a aussi, et qui ne sont pas des moindres ,qui refusent d’accepter l’évidence.

Macky Sall qui a parlé au nom du continent africain ,en tant que président en exercice de l’Union Africaine (U.A),a mis les responsables des Etats les plus pollueurs face à leurs responsabilités.

Et, plaidé la cause de l’Afrique, victime  des agissements, notamment de l’Occident ,coupable de bien des excès qui accélèrent le réchauffement climatique.

Les E.A.U  dont la richesse et les investissements  dans les secteurs du développement scientifique et technologique,les ont fait intégrer le peloton de tête des Etats ,ont des moyens d’agir et de peser ,dans la diplomatie mondiale.

A titre d’exemple, Sheikh Mohamed a fait récemment un  déplacement à Moscou pour rencontrer Poutine.

Le président Macky Sall avait emprunté le même chemin, auparavant.

Il s’agissait, évidemment d’intervenir dans l’action pour résoudre la crise planétaire  déclenchée par la guerre en Ukraine.

Les démarches des deux hommes d’Etat ,Macky Sall et Sheikh Mohamed, convergent pour renforcer la paix entre les nations et développer une coopération mutuellement bénéfique entre leurs peuples.

Les photos de Sharm El Seikh vont donc ,au-delà de « l’effet carte postale ».