Le chef de l’État Sénégalais, Macky Sall, répond aux allégations de l’opposition.

Le président Macky Sall a appuyé là où cela fait mal en ciblant ses opposants : « beaucoup sont dans l’opposition parce qu’ils ont perdu des privilèges ». Cette affirmation est incontestable : Abdoul Mbaye, ancien premier ministre a-t-il, une seule fois, exprimé des réserves concernant la politique qu’il était chargé de mener ?

Depuis qu’il est limogé, rien ne trouve plus grâce à ses yeux, même ce qu’il avait signé et défendu, notamment à l’Assemblée nationale. Il est décrédibilisé et les Sénégalais rient sous cape.

Cheikh Bamba Dièye qui fait feu de tout bois maintenant, était comme un agneau lorsqu’il était ministre. Sonko, inspecteur des impôts radié ne se sent plus et parle à torts et à travers pour régler, sans doute ses crédits d’impôts de paroles et de couleuvres avalées.

Il a même écrit un livre sur le pétrole un domaine qu’il ignore totalement, mais les Sénégalais seraient demandeurs d’un témoignage écrit sur les « dessous du foncier », notamment à Dakar avec le financement du monument de la Renaissance, par exemple.

Mansour Sy Diamil est d’une totale incohérence dans ses propos et oublie son passé de vice-président à l’Assemblée nationale, ses rencontres avec le président Macky Sall etc. C’était le temps des privilèges, n’est-ce pas ? Idrissa Seck, membre de BBY était reçu et recevait, lui aussi mais il ne faut surtout pas remuer ce passé qui ne passe pas.

Lui a un problème avec…lui-même. Il a saccagé son avenir politique, avec une violence aveugle. Maintenant il court derrière le fantôme de sa gloire ensevelie dans le cimetière de ses délires oniriques. Personne ne peut l’aider sauf, peut-être un psychiatre.

On pourrait le pincer pour lui rappeler que c’est Macky Sall qui est élu président de la République du Sénégal depuis 2012 et que lui était aussi candidat arrivé en 5ème position, distancé de près de 20 points par celui qui allait devenir 4ème président.

Cet échantillon suffit pour justifier l’affirmation selon laquelle ces opposants sont des frustrés qui ne sont intéressés que par eux-mêmes. Haguibou Soumaré qui vient de se lancer est du même acabit, comme nous vous l’avions fait savoir sur AC.

Il n’a jamais fait de politique, n’a pas de parti et ne représente pas grand chose.
Il s’en rendra compte. D’ailleurs tous ces opposants sont bien conscients de leurs insuffisances et savent qu’ils vont mordre la poussière. C’est pour quoi ils parlent de fraude et d’autres balivernes pour essayer de justifier leur futur déroute électorale.
Faut-il rappeler qu’au Sénégal, il est impossible de truquer les élections ? Sinon Wade l’aurait fait. Il a été battu alors que le ministre de l’intérieur était membre de son parti.

Le problème de l’opposition sénégalaise est qu’elle manque de sérieux et de rigueur. Elle est éclatée car composée d’individus foncièrement égoïstes. Ils courent derrière les privilèges et n’en ont jamais assez.

Les citoyens les ont démasqués depuis longtemps et leur ont tourné le dos. Ils constatent, sur le terrain, les réalisations spectaculaires du président Macky Sall : les bourses familiales, la CMU, Ila Touba, l’arène nationale, l’autoroute des Niayes, Diamniadio, le TER, AIDB, Senegal Airlines, les aides aux paysans, aux éleveurs, aux pêcheurs et la dernière trouvaille qu’est la délégation à l’entreprenariat rapide, avec des financements conséquent et diligents, accessibles à tous.

Macky Sall a une vision et des programmes mûrement réfléchis pour la traduire en actes avec le PSE (plan Sénégal émergent). Les populations lui font confiance et le démontrent à chaque élection depuis son avènement. Il a tout gagné et avec la manière.

Toujours vaincus, les opposants refusent de regarder la réalité en face : leur incapacité congénitale à s’unir, à désigner un candidat unique, le manque de crédibilité de leurs allégations, leur choix surréaliste de vouloir faire croire des bobards au peuple sénégalais habitué aux joutes électorales depuis 170 ans.

Vous avez bien lu : depuis 170 ans, le premier député sénégalais élu au Palais Bourbon, en France est Durang Valantin. C’était en 1848.