L’ONG Global Witness accuse la fille du dirigeant de la République du Congo d’avoir acquis un appartement à New-York.

La légèreté, avec laquelle l’ONG « Global Witness » a essayé de mêler Claudia Sassou-Ngesso, dans l’achat d’un appartement à New-York, en dit long sur les méthodes, peu recommandables de cette association « à but non lucratif ».


En effet, c’est avec des amalgames et des « déductions » tirées par les cheveux, que l’ONG de Mme Charmian Gooch, Patrick Alley et Simon Taylor a voulu, faire croire que le « vrai propriétaire d’un appartement, acheté à New-York, n’est pas celui dont le nom figure sur les actes notariés et qui l’a payé ». Ils veulent nous faire croire qu’il est un prête-nom, sans donner aucune preuve irréfutable.

En vérité, « Global Witness » n’a pas de « smoking gun », elle cherche à faire le buzz, pour attirer l’attention, inonder les réseaux sociaux, pour déchainer les commentaires haineux et xénophobes contre les dirigeants africains et les membres de leur famille.

En effet, derrière l’affichage de « combattants sans peur de la corruption », se cachent des chasseurs qui, à défaut de primes, visent des…prix. Pour la gloriole ! Et pour les sous, aussi ! Car, comment ces activistes vivraient-il autrement, sans subsides et autres financements généreux ?

La « fausse affaire » de l’appartement new-yorkais, est une vraie…affaire de manipulation médiatique, de l’intox et de l’infox, pour essayer de salir un gouvernement et une famille.

Le démenti des autorités congolaises (que nous publions en fac-similé) est édifiant.
Claudia Sassou-Ngesso n’est, en rien, impliquée dans l’achat d’un appartement à New-York.

Mais, en ciblant M. Veiga, on cherche à éclabousser le Congo, en passant sous silence la coopération bilatérale entre Brasilia et Brazzaville qui profite, assurément aux populations des deux pays.

Cet aspect essentiel, des relations multiformes entre deux pays souverains, n’intéresse pas les calomniateurs qui sont des paternalistes, au mieux, et des racistes, au pire.

Si tel n’était pas le cas, pourquoi les pays africains sont-ils ciblés par Global Witness qui, des questions d’exploitation des ressources forestières, est passée à la question des « diamants du sang », aux conditions de gestion des contrats pétroliers. Et, toujours en Afrique (Congo, Zimbawbé, Angola, Guinée-Équatoriale).

Exceptionnellement, elle avait parlé du commerce entre la Chine et la Birmanie, en ce concerne le caoutchouc. Et, accessoirement d’autres pays dans d’autres continents. Mais rien contre les oligarques russes, les milliardaires chinois, ou même l’État chinois, et pendant qu’on y est, les profits scandaleux de la famille royale britannique sur les terres en jachère payées par l’Union européenne ?

Attaquer les africains, que c’est facile et lâche, et raciste ! C’est comme, avec les cris racistes contre les joueurs africains noirs dans les stades de football européens. Comme, par hasard, on ne le fait, jamais contre les joueurs noirs brésiliens ?

Le problème est bien le même, il s’agit d’un manque de respect envers les Africains.
Pourquoi Global Witness ne s’intéresse-t-elle pas aux familles des dirigeants européens, et autres ? Pour cette fois, Global Witness s’est véritablement fourvoyée et montré son vrai visage. Elle s’est enfoncée dans le mensonge et s’est discréditée.