Le Premier secrétaire du parti socialiste français, Olivier Faure, qui n’est premier en rien, avec un candidat à la Présidentielle à 1,7% (pour un parti qui a dirigé la France pendant 14 ans ,avec Mitterrand et 5 ans avec François Hollande),se permet d’attaquer la démocratie sénégalaise, de manière lâche et intempestive.
Mais sa sortie n’est nullement une défense des opposants sénégalais, mais l’expression d’une rancune tenace envers le Sénégal qui a rejeté tout projet de légalisation de l’homosexualité.
Olivier Faure est un militant extrémiste de la cause LGBT qui ne s’en cache pas.
Il s’est illustré dans le combat politique et sociétal pour la légalisation du mariage pour tous.
Sous couvert de lutter contre l’homophobie, il a entrainé son parti dans une position radicale de soutien aveugle de la cause LGBT ,non par conviction réelle, mais par opportunisme politique.
Il s’était mis dans la tête de rendre, à nouveau le PS attractif pour marquer des points dans sa gestion d’un parti à vau-l’eau ,qui fait honte à ceux qui ont vécu la victoire de Mitterrand et ses deux mandats qui ont transformé la France, avec l’abolition de la peine de mort, l’explosion des radios libres et de la pluralité médiatique, en général, l’envol de SOS -Racisme, la fête de la musique, symbole d’une ouverture culturelle universelle et la régularisation de plusieurs milliers de sans-papiers, entre autres.
Mais n’est pas leader qui veut et Olivier Faure a réussi l’exploit pathétique de faire pire que Hollande qui a laissé le PS, en champ de ruines.
Avec Faure, il faut essayer de trouver les ruines pour les ramasser.
L’homme est donc dans une situation désespérée, avec un parti en perdition.
La cause LGBT est une « bouée de sauvetage » fantasmée pour un leader de pacotille, sans imagination.
Il s’est tout de même engagé dans la brèche et, lui qui ne paie pas de mine, a voulu faire le buzz.
Quoi de plus simple que d’attaquer un pays africain -qui brille sur la scène internationale- et qui refuse catégoriquement de renier ses valeurs partagées par la quasi-totalité de sa population et qui dit donc niet ,à la légalisation de l’homosexualité.
Faure saisit l’occasion des joutes électorales en cours au Sénégal pour tweeter et attaquer la démocratie sénégalaise qui « piétinerait les libertés ».
Quel culot, quel légèreté !
Tiens, le timide Faure couve donc un paternalisme colonialiste qui, avec sa volonté de se signaler aux lobbies pro-LGBT expliquent son dérapage-buzz voulu.
Il ignore que les sénégalais n’en ont que faire de l’opinion malsaine d’un néocolonialiste attardé, même habillé aux couleurs socialistes .
Le masque est tombé et Faure se retrouve « arroseur arrosé »,leader de pacotille qui récolte une volée de bois vert bien méritée !
Cela lui apprendra de dire des contre-vérités et d’essayer de défendre une cause LGBT qui ne sera jamais de saison au Sénégal.
Pourtant ,il devait savoir que le Président Macky Sall a servi une fin de non-recevoir à Barack Obama, et Justin Trudeau, qui ont un poids politique mondial bien connu et qui avaient tenté de plaider la cause LGBT.
La position du Sénégal est intangible, marquée du sceau du bon sens ,comme ces paroles de l’Archevêque de Dakar, Monseigneur Benjamin Ndiaye : « un homme ne peut répondre de deux noms » (traduction du wolof : ceux qui ont deux noms, à savoir les homosexuels, en wolof : (homme-femme)
La position du Sénégal ne voue pas aux gémonies les homosexuels ; mais exclut toute légalisation d’une pratique contraire aux mœurs et valeurs millénaires de l’immense majorité de sa population, toutes religions confondues.
Faure est un apprenti-sorcier qui s’est brûlé tout seul, car les sénégalais ont réagi, tout simplement pour le remettre à sa place, tout en mettant en exergue les vraies raisons de sa sortie médiatique qui n’a rien à voir avec la démocratie .
Faure a cherché un prétexte pour plaire à ses amis LGBT, en pure perte.
Pourtant ce nouvel épisode ,doit dessiller les yeux des sénégalais ,car ceux qui sont appuyés par les LGBT sont les opposants qui font feu de tout bois et mangent à tous les râteliers.
Pour salir la démocratie sénégalaise.
Si YEWWI ne s’était pas trompé dans la confection de sa liste des titulaires de la liste nationale proportionnelle, en remplaçant une femme qui n’avait pas 25 ans (âge requis pour être éligible), par une autre qui était inscrite sur la liste des suppléants (cause d’invalidité : car une personne ne peut pas être inscrite deux fois, sur deux listes),il n’y aurait eu aucun problème.
Personne ne pourrait invalider la liste nationale. Comme ce fut le cas pour les autres listes d’opposition validées.
La mauvaise foi des responsables de YEWWI et leur malhonnêteté sont évidentes.
Les seuls fautifs sont ceux qui ont confectionné ces listes et qui ont fait preuve d’une légèreté inqualifiable.
Que personne ne peut défendre et que le Conseil constitutionnel a rejetée logiquement…
Aucune liberté démocratique n’a été piétinée au Sénégal !