Ousmane Sonko

Décidément ,Sonko et ses affidés ne peuvent arrêter de jouer avec « l’intelligence » de ceux qui les suivent comme des moutons de Panurge.

Un jour « il est à l’article de la mort »,un autre il serait à « 7% » (comment fait-on le calcul ?), pour revenir à un « état stable »,lequel ?

Le curieux est qu’il serait en grève de la faim ,sans fin ,sans qu’il ne se passe rien.

Sinon : « des admissions à la réanimation »,en cascade qui finissent par des cures à « l’eau et aux dattes » présentées au Khalife pour qu’il les bénisse (pour aller ensuite affirmer que ce serait le guide religieux qui les a données au gréviste de la faim, malade imaginaire ).

Manipulation lamentable !

Aucun marabout Khalife n’a jamais offert des dattes à Sonko pour qu’il arrête sa grève de la faim grotesque, qu’il a entamée sans(lui)/ leur demander leur avis.

Ce cinéma est indigne, une sorte de masturbation macabre qui révolte toute personne qui creuse ses méninges et rejette la fiction funeste des affidés de Sonko ,en désespoir de cause.

Ces gens en appellent maintenant à «  un report des élections »,parce qu’ils ne seraient pas prêts.

Qui jurait qu’il serait de la partie le 25 février 2024 et que « rien ni personne ne pouvait l’en empêcher » ?  Réponse : Ousmane Sonko !

Le « guerrier en carton-pâte » n’est plus en état de rugir. Il gémit ,il est face à Abdou Jambar, il aperçoit le tunnel tout noir du « voyage sans retour ».

Il se porterait comme un charme s’il n’était plus dans les serres de la justice ?

Mais qui l’a conduit là où il est ?

Qui a fait des appels répétés à l’insurrection ?

La réalité est que Sonko a la trouille ; il a peur de la prison et, surtout d’assumer ses responsabilités.

C’est pourquoi, il a fui Adji Sarr au tribunal et qu’aujourd’hui  ,il fait tout pour retarder l’annonce de sa condamnation définitive dans l’affaire de la diffamation contre Mame Mbaye Niang.

C’est peine perdue.

Pour lui, en tout  cas « son histoire personnelle, ses propres  turpitudes ,seront son jugement dernier, ici ,face à la justice de son pays ».

Il ne peut s’y soustraire car il est un citoyen lambda comme tout le monde.

Les sketches de ses affidés, ses scènes de malade imaginaire, rien ne va le tirer d’affaire.

Il est entre les mains de la justice , « là où tous les bonnets sont les mêmes ».

Ceux qui lui font comprendre le contraire le trompent.

Avant lui, d’autres sont passés sur ce chemin et ont payé le juste prix d’une condamnation rigoureuse.

Et ceux-là  ne faisaient pas face aux lourdes charges qui sont portées contre lui.

Sauver le soldat Sonko est mission impossible.

C’est avant qu’il fallait y penser, pas maintenant.

Le chantage à la maladie ne passe pas.

Le problème est simple : est-il oui ou non coupable ? 

La justice et elle seule décidera…

Agonie ou pas !