Libéré sous le régime de « la liberté provisoire »,Pape Alé Niang, journaliste défroqué et militant borné, a été reconduit en prison, après trois jours ,à l’air libre.
Il s’était permis de faire une sortie au vitriol, dans les réseaux sociaux , contre le patron de la police nationale.
Cette nouvelle dérive qui est en porte à faux avec sa « condition juridique » a été perçue ,à juste titre ,comme un acte de bravade stupide et vain, qui met en exergue une personnalité torturée qui n’a plus rien à voir avec le journalisme.
Et tout à fricoter avec un militantisme rétrograde ,en soutien à un homme ethniciste, accusé de viol et dont les fréquentations douteuses ,dans des salons de massage ne sont plus à démontrer.
Plus grave encore ,il se permet de divulguer des informations classées « secret défense »,en violation de la loi.
Les journalistes qui l’ont soutenu, par esprit de corps et par principe, ne devraient plus perdre leur temps à essayer de l’aider ,cette seconde fois.
Parce que Pape Alé Niang a choisi, délibérément de braver ceux qui font respecter la loi et de pavoiser.
Il a certes retiré son « post »,mais le mal était déjà fait ,et d’ailleurs il aggrave son cas ,car il montre bien qu’il savait ce qu’il faisait : de la provocation irresponsable.
Plus personne ne va se mobiliser pour lui et sa grève de la faim ne va plus émouvoir qui que ce soit.
Cet homme a pu penser que la mobilisation pour le sauver serait signe d’une adhésion à son action lamentable ?
Il s’est trompé lourdement.