Ousmane Sonko

L’opposant Sonko n’a aucune autre stratégie politique que celle qui consiste à essayer de faire foule, en attirant des gamins dans la rue.

Le problème est que  ce choix est désespéré ,pour un homme déjà condamné pour diffamation et qui vient d’être jugé par contumace pour viols et menaces de mort.

Ce ne sont donc pas ses sorties sans tête ni queue, qui vont le sauver, après l’étalage obscène de ses massages, avec « finition » au salon-lupanar « sweet beauté »,devenu tristement célèbre.

Lors d’un procès -déballage, pendant lequel son accusatrice a révélé au monde entier, la face sombre d’un apprenti politicien à la libido détraquée.

Un homme lâche qui a fui la confrontation au tribunal et qui a osé traiter de « guenon » son accusatrice. Cette dernière ,qui n’a pas sa langue dans sa poche,lui a servi une réponse explosive  qui est devenue virale dans les réseaux sociaux.

Cette séquence a encore décrédibilisé Sonko et étalé, au grand jour, son infinie petitesse,un homme indigne  de présider la plus petite association de quartier.

En vérité Sonko  s’est totalement enfoncé  dans la boue de sa propre turpitude, de ses pulsions libidinales.

Adji Sarr est finalement le bourreau  de Sonko qu’elle a osé affronter et vaincre  dans un tribunal ,déserté par un accusé mal à l’aise ,mis à nu et jeté en pâture à l’opinion publique.

Sonko ne sera plus observé qu’avec des yeux de mépris  et de rejet.

Il lui reste ces jeunes écervelés qui vont finir par  lui tourner le dos lorsque DIKE lui donnera le coup de grâce au Temple de Thémis.

Cette caravane baptisée « liberté » pourrait devenir une autre « finition » ,beaucoup moins jubilatoire ,lorsque le bunkerisé  de Ziguinchor ,fera face à son destin judiciaire et politique.

La fuite en avant de Sonko est pathétique et met en scène un individu traqué par ses propres démons et qui cherche à entrainer  des jeunes immatures  dans sa déchéance.

Plus égoïste que Sonko ,tu meurs.

 

Ses lieutenants qui croupissent en prison ,il  n’en parle même pas ; les jeunes morts depuis 2021,encore moins.

Seule sa personne l’intéresse et, ses camarades de YAW  qui viennent de découvrir cela, l’ont abandonné ,comme le maire de Dakar, Barthélémy Dias qui a osé  l’attaquer frontalement et lui cracher ses vérités : non à la pensée unique, oui au dialogue lancé par le Président de la République.

Les partenaires de YAW se rebiffent ,de plus en plus et quittent le navire de la dictature et de l’aventure solitaire qui fonce vers l’iceberg qui va le détruire.

Sonko est de plus en plus seul et Adji Sarr vient de lui porter l’estocade, en le déshabillant publiquement, « finition et vergetures comprises ».

Nous l’avions dit dans ces colonnes ,de nombreuses fois, que le « procès Sonko/Adji Sarr » devait être interdit aux moins de 18 ans.

Les révélations furent crues et la parole libérée d’Adji Sarr, destructrice.

Sonko a beau  avaler poussière et  s’exposer au soleil ,sa diversion ne passera pas, ne pourra jamais effacer les vérités de feu sortie de la bouche de l’ex-masseuse dont c’était le tour de s’acharner et de se venger d’un homme qui l’a fait insulter dans les réseaux sociaux et jeter à la vindicte populaire.

Le mardi 23 mai restera dans les annales comme un jour  de vérité ,fatal à un Tartuffe des tropiques dévêtu, en public et « arrosé »  de honte.