Après les vaines menaces et les manifestations  avortées, les annonces  sans lendemain de tigres en papier, les opposants de YEWWI battent leur coulpe et décident de ne plus faire des manifestations interdites par la loi, et  acceptent de participer aux élections du 31  juillet pour faire campagne pour leur liste de suppléants validée par le Conseil constitutionnel .

 

Finalement ce fut beaucoup de bruit pour rien . 

Et, malheureusement , des  actes criminels qui ont causé la mort de trois personnes au moins.

Actes dont devront répondre les coupables que les enquêteurs  vont identifier et présenter à la justice.

Le rétropédalage de Sonko et ses camarades irresponsables n’efface pas leurs actes inqualifiables que rien ne justifiaient.

Tous ceux qui les soutenaient par ivresse anti-régime, sont couverts de honte par  ce qu’il faut bien appeler  un aveu de culpabilité de manipulation ignoble.

Car, les gens de YEWWI-qui ne méritent pas le titre de « leaders »-ont sciemment menti pour provoquer des échauffourées sanglantes et pousser à une insurrection.

Ce complot a été éventé et mis à nu. Les camarades de Sonko ont donc tourné casaque, piteusement, lamentablement.

Sans vergogne, sans explication !

Comment expliquer qu’ils cherchaient à se prévaloir de leurs propres turpitudes ?

Qui a confectionné les listes de YEWWI ? Les gens de YEWWI qui se sont donc fourvoyés, tout seuls, en  faisant inscrire une seule et même personne sur deux listes différentes : celle des titulaires et celle des suppléants, dans l’ordre inverse.

C’est pourquoi, en toute logique, le Conseil constitutionnel a invalidé la liste des titulaires.

Sonko a été la première personne a crier son désarroi et reconnaître l’erreur fatale commise par ses « confectionneurs de listes incompétents ».

Comment, ensuite essayer de mener un combat pour intimider l’Etat de Droit et demander que la loi soit bafouée ?

Une  fin de non recevoir leur a été opposée. Fort justement !

Ils ont actionné la machine à désinformer et à menacer. EN VAIN !

L’Etat est resté ferme.

Contre les faux membres de la société civile et vrais opposants encagoulés qui plaidaient un « apaisement » qui consisterait à  annuler les élections et les reporter.

Autrement, il fallait donc renier l’Etat de Droit, ses  principes, ses valeurs ?

Le Chef de l’Etat a justement dit non et  pris les mesures qui s’imposaient.

La manifestation autorisée du 8 juin ,s’est bien déroulée. PACIFIQUEMENT ! DEMOCRATIQUEMENT !

Celle annoncée pour le 17,non autorisée et interdite, n’a pas eu lieu..

Celle annoncée hier, non plus et Sonko qui avait déclaré que si l’Etat voulait l’empêcher de manifester, il devait l’arrêter ou le « liquider »,a ravalé son vomi et ses mots incendiaires-qui ne sont du vent-, du venin d’un crotale édenté, comme dirait l’autre.

L’homme, ou ce qu’il en reste, s’est déconsidéré, encore une fois, comme quelqu’un de tétanisé par la peur et qui est très courageux quand il s’agit d’envoyer les enfants des autres au feu. PAS LUI,NI SES ENFANTS !

 

Toute honte bue, comme ses souteneurs français opportunistes ,Mélenchon et Faure, il a tout accepté : la tenue des élections à date échue, le 31 juillet, la participation de YEWWi à la campagne électorale légale-qui commence le 10 juillet-.

En réalité il a joué le chantage à la violence et a perdu, car il n’a pas ce qu’il faut pour faire face.

Il est démasqué et ceux qui le suivaient encore, doivent tourner le dos à ce prétendu « leader » sans courage, sans cohérence, sans science, ni connaissance.

Il se rabat sur les « concerts de casseroles », qui le ridiculisent encore davantage…

La première fois, ni Khalifa Sall, ni Barthélémy Dias n’y ont participé.

Il est vrai que le ridicule ne tue pas.

La vérité est que YEWWI avait surestimé ses forces, se référant à un « mythique mois de mars 2021 », qui s’est produit dans un contexte de sortie de confinement  post-flambée de Covid.

L’ETAT avait promis que cela ne se reproduirait plus et a tenu promesse.

Mieux il a arrêté des infiltrés criminels rebelles et terroristes et cela ouvre un nouveau chapitre dans le combat pour la défense de la sécurité nationale.

Cette affaire est très sérieuse et l’enquête en cours, avec les personnes arrêtés, pourrait révéler des secrets terribles.

Est-ce ,ce qui explique la débandade de YEWWI ?  

C’est devant nous !

Un vrai leader, un homme d’Etat ,Macky Sall, avait répondu aux journalistes de France 24,qui l’interrogeaient sur les risques de tension pour le 17 juin et la manifestation qui avait été  annoncée par YEWWI : C’EST DEVANT NOUS !

Tout le monde a vu.

L’enquête est en cours  et toute la lumière sera faite,dans cette affaire de terrorisme ,d’une gravité  extrême.