La manifestation interdite de YAW (opposants), n’a pas eu lieu.
Les leaders de cette coalition ont été bloqués et/ou arrêtés ,et n’ont donc pas pu se rendre à la Place de la Nation. TOTALEMENT SECURISEE ET VIDE !
Contrairement au 8 juin ,lors de leur manifestation autorisée.
Ils avaient déclaré, à cor et à cri qu’ils manifesteraient coûte que coûte. Ils ont échoué.
En outre la mobilisation qu’ils espéraient ,ne s’est pas produite.
Seuls quelques groupuscules de jeunes désœuvrés ,des vandales, assurément, ont essayé de se rassembler, aux abords des domiciles de Barthélémy Dias, maire de Dakar et d’Ousmane Sonko.
Dans le premier cas, ils ont été dispersés par les forces de l’ordre et dans le second ,ont été tenus à l’écart.
A part cela, de rares échauffourées ont été notées à Colobane où des jeunes poursuivis dans les ruelles ont détalé comme des lapins.
Sur la VDN ,deux ou trois pneus ont été brûlés et vite éteints par les forces de l’ordre qui y ont rétabli la circulation.
Pendant ce temps, le Chef de l’Etat,Macky Sall a reçu ,au Palais présidentiel ,une délégation de jeunes libéraux et s’est longuement entretenu avec eux.
On le voit, les déclarations incendiaires des opposants qui allaient mettre le pays sans dessus-dessous, sont restées lettre morte.
Les opposants ont compris, aujourd’hui que leur « deuxième vague » fantasmée n’aura jamais lieu. Car l’Etat veille au grain, plus déterminé que jamais à assurer l’ordre et la sécurité dans le pays.
Ousmane Sonko s’est révélé, sous son vrai jour : il est sorti de chez lui pour demander aux forces de l’ordre de permettre à l’une de ses femmes d’emmener son enfant à l’école.
Il sécurise son enfant, le fait emmener à l’école, en poussant les enfants des autres à braver les forces de l’ordre ,quitte à se blesser.
Il est sorti une seconde fois de chez lui pour demander d’aller prier à la mosquée ; cela lui a été refusé. Il est rentré dans son domicile.
Pourquoi n’a-t-il pas commencé son MORTAL KOMBAT ?
Parler c’est facile, agir, faire face, risquer sa peau, c’est une autre affaire.
L’homme a peur, il affiche un sourire qui trahit une torture interne d’un homme qui, à défaut de « deuxième vague » a du vague à l’âme.
Le discours guerrier ,la bouche mitraillette à insanités ,fait sortir des paroles douces face aux FDS (Forces de défense et de sécurité) qui avaient intercepté 6 de ses gardes du corps ,auparavant.
Sonko est un tigre en papier. UN TARTARIN DES TROPIQUES !
Ceux qui le suivent ont intérêt à savoir cela et à éviter de boire ses paroles qui ne sont que du vent.
Pareil pour Khalifa Sall qui lui ,est décrédibilisé depuis longtemps.
Il fait des affirmations gratuites, d’une stupidité sidérante.
Bathélémy Dias, lui est totalement irresponsable ; mais sait jusqu’où ne pas aller trop loin. Aujourd’hui, il a fait son show et, est rentré chez lui.
Déthié Fall qui a torpillé la liste de YAW, s’est fait cueillir ,près du siège de son parti ,par les FDS. Il n’a pas vu, comme tous les autres, la Place de la Nation.
Comme quoi, les FDS ont fait régner l’ordre et imposé le respect de l’interdiction préfectorale, conforme au Code électoral qui interdit toute manifestation politique ,pendant la précampagne.
Braver les interdictions et jouer la provocation est irresponsable et dangereux.
Les médias dont les annonces doivent être vérifiées annoncent une personne victime collatérale et deux stations d’essence vandalisées.
On est loin ,très loin des saccages généralisés du mois de Mars 2021.
Les FDS ont bien appris la leçon et en ont administré la preuve ce jour.
Les opposants disqualifiés doivent se le tenir pour dit et se préparer aux joutes électorales du 31 juillet.
YAW a ses listes départementales en lice et sa liste des suppléants sur le plan national.
Ou alors, seul le sort de Sonko les intéressent ?
Qu’ils l’avouent et prennent leurs responsabilités.
Les leaders des listes qualifiées de Bokk Guis-guis, Natangué, les Serviteurs, Aar Senegal ont publié un communiqué pour appeler à l’organisation des législatives le 31 juillet.
Ils rejoignent BBY qui dit exactement la même chose.
Comme le Président Macky Sall,chef de l’Etat qui garantit ,de par la loi, l’organisation des élections à date échue et confirmée.
L’Etat de Droit au Sénégal est une réalité et l’échec des vandales de l’opposition, ce jour en est une nouvelle preuve éclatante.