Décidément Ousmane Sonko a ouvert la boite de Pandore au sein de l’opposition sénégalaise où il a déclenché une véritable guérilla.

Et tous les coups sont permis et personne ne retient les siens.

La palme du courage revient à Thierno Bocoum de la coalition AAR. SENEGAL (Protéger le Sénégal), qui a dit les choses avec clarté et brutalité : « OUSMANE SONKO MENT ET IL SAIT QU’IL MENT » !

En effet ,Sonko ment éhontément en affirmant que « toutes les listes de l’opposition, à l’exception de la sienne et de Wallu ont été créées par Macky Sall ».

C’est une insulte, qui cependant traduit l’énorme arrogance névrotique de Sonko ,son manque de respect psychotique envers tous ceux qui ne pensent pas comme lui et/ou ne votent pas comme lui.

Cet homme est un monstre, au sens propre du terme, c’est-à-dire un être bestial, qui traite tous les autres avec mépris .

Les menaces envers les journalistes, les appels répétés à l’insurrection, le fait de magnifier « la première vague -qui avait fait 14 morts-» et d’en annoncer « une deuxième -qui a été jugulée-, à son grand désarroi, son incapacité psychosomatique à reconnaître ses erreurs, et donc son refus absolu de présenter ses excuses, témoignent d’une personnalité torturée, en proie à des pulsions destructrices.

 

C’est bien un malade mental qui fait campagne électorale et qui tire sur tous ceux qui pensent librement et vont voter librement.

 

Sonko veut des foules manipulées, qui l’adulent comme un gourou et c’est pourquoi il a commencé à insulter ses propres alliés : « PERSONNE NE CONNAIT LES CANDIDATS INSCRITS SUR NOTRE LISTE DES SUPPLEANTS ».

Pourtant, il fait campagne pour ces « inconnus » ,pour qui, il n’a aucune considération.

Ces derniers acceptent les insultes ,pour peut-être demain, quitter avec fracas, la coalition dirigée par un homme malade du désamour de sa propre personne.

Que nul ne s’y trompe,Sonko ne s’aime pas. Il est désespéré d’être lui-même, un carriériste radié de la fonction publique et qui voit le rêve de sa vie brisée.

 

Ceux qui cohabitent avec lui acceptent une castration de leur propre personnalité, pour se soumettre à lui.

Il se prend pour une rock star et donc, fait à chaque fois, un show improvisé, avec la recherche de buzz XXL.

Sa demande de « débat avec la tête de liste nationale de BBY », lui ayant valu une réponse humiliante de Aminata Touré, il lui fallait trouver autre chose pour occuper la Une des médias.

Une insulte brutale aux autres opposants fut sa trouvaille machiavélique.

Il est certainement en train de le regretter , tout en faisant tout son possible pour refouler ce sentiment de honte.

Car lui Sonko, ne bat jamais sa coulpe, ne s’excuse pas et piétine tous ceux qui lui apparaissent faibles.

C’est le comportement d’un poltron, comme ses actes aux antipodes de ses déclarations guerrières ,le prouvent.

Il avait dit qu’il manifesterait le 29 juin, et que, si on devait l’en empêcher, il faudrait « l’arrêter ou le liquider ».

Personne ne l’a arrêté,encore moins liquidé.

Il a suffi de déployer les forces de l’ordre, pour qu’il s’aplatisse.

La fermeté des FDS (Forces de défense et de sécurité), qui ont mis hors d’état de nuire les membres de la « Force spéciale », a ramené à la réalité le tigre en papier qui jouissait déjà dans son monde onirique.

Que les autres opposants le sachent, Sonko courbe toujours l’échine face à des forces organisées et déterminées.

Pas devant des faiblards.

Il a voulu, une fois encore, tester les autres opposants et les pousser à s’aligner, en répétant qu’ils étaient seulement contre BBY.

Il leur dicterait ainsi le la.

Mais, il

y a eu Bocoum, dont la réplique violente, lucide et cinglante a fait l’effet d’une bombe dans le ciel de YEWWI, comme un coup de tonnerre hivernal.

Il est grand temps de prendre Sonko pour ce qu’il est : un menteur…un fieffé menteur ,capable de toutes les bassesses.

Pour échapper à l’affaire Adji Sarr.

C’est son obsession.