Les manipulations et fake news des opposants n’y ont rien fait : la loi n°10/2021, modifiant la loi n°65-60 du 11 juillet 1965, portant Code pénal, a été adoptée à une immense majorité, par l’Assemblée nationale du Sénégal : 70 voix contre 11.
Le député Ousmane Sonko s’est encore illustré au niveau de l’hémicycle, en se bagarrant avec un député de la majorité, Mberry Sylla.
Après cette altercation Sonko a exhorté les autres députés de l’opposition à boycotter la séance ; mais il n’a pas été écouté .
Il a quitté les lieux, sans tambours ni trompettes, ayant constaté, auparavant l’échec cuisant de sa tentative de manipulation et son appel à une marche qui a été ignoré par les populations.
Il n’y a eu aucune marche à Dakar, au centre-ville sur la corniche, ainsi que dans les quartiers ; les habitants ont vaqué tranquillement à leurs occupations.
Quelques rares étudiants ont essayé de troubler le campus de l’université de Dakar, en pure perte.
La circulation aux abords de l’université de Dakar, n’a connu aucune perturbation.
Sur toute la ligne, les opposants ont fait « chou blanc », car leur argumentaire était indigne d’un élève de C I.
Le projet de loi reprenait une loi déjà adoptée par l’Assemblée en 2007 et 2016.
Et nulle part, on ne trouvait une ligne pour justifier les affabulations des opposants sur la « menace contre la liberté de manifestation ».
Que les peines soient durcies contre les agresseurs, casseurs et autres vandales et terroristes, il faut s’en féliciter !
Il y avait aussi l’urgence pour le Sénégal de se mettre en conformité avec les traités internationaux qu’il avait déjà ratifiés, comme l’adhésion au GAFI, pour rassurer les investisseurs.
C’est curieux d’ailleurs, que des opposants refusent ce combat contre le terrorisme et le blanchiment d’argent ?
Au bout du compte, et comme d’habitude, les opposants sénégalais ont ameuté le monde, fait beaucoup de tintamarre dans les médias, qui pour la plupart sont leurs complices, (pour faire le buzz), pour rien.
Parce qu’il n’y avait rien de problématique à mettre en exergue.
En vérité, les opposants, battus à plate couture par la coalition présidentielle, BBY par sa mobilisation spectaculaire le 23 Juin, cherchaient à rebondir.
Ils ont mal choisi leur moment et leur balivernes ont fait « pschiitt ».
Ils ont intérêt à comprendre vite que le vent a tourné et que les émeutes du mois de mars ne pourront plus être répétées.
BBY est sur ses gardes, les forces de l’ordre aussi ; et surtout, il y a la prise de conscience des populations qui ont fini de démasquer Ousmane Sonko, empêtré dans l’ « Affaire SweetBeauté », qui a révélé son vrai visage.
L’homme n’a aucune qualité de leader et sa cote s’est irrémédiablement effondrée dans l’opinion.
Ses appels à des manifestations n’ont plus d’écho et il traine son ombre comme un homme en peine.
Les députés de la majorité ne l’ont pas raté, en réclamant « justice pour Adji Sarr » et ont fustigé ses nombreux mensonges qui avaient terni son image au sein de l’Hémicycle.
Les rares députés qui ont attaqué le régime ont reçu une volée de bois vert verbale dont ils se souviendront.
Ils ont tenté de susciter une tension artificielle dans un débat qui a enseveli leurs fake news.