A chacune de ses interventions publiques, Moustapha Sy,  indigne du titre de « Serigne »,fait des affirmations fausses et tellement grossières qu’elles inspirent le dégoût.

 

Cette fois -ci, il s’est surpassé en  déversant  des insanités sur un prophète, un Saint homme de l’Islam, avec des mots qui puent l’indécence à mille lieues.

Une partie de son auditoire, composée de  moutons de Panurge et une autre  « cancérisée »  par l’obscurantisme, s’en délecte et le pousse à  franchir les frontières de la Morale, pour se vautrer dans la lie de l’affabulation, les détritus de la délation et la boue de l’innommable.

Personnage grossier, qui s’est décrédibilisé depuis ses attaques ordurières contre le deuxième Président de la République du Sénégal, Moustapha Sy, malgré son  séjour carcéral, continue de cultiver sa différence nauséabonde,  pour créer le « buzz » et attirer les regards pervers.
Même si, en même temps ,il s’enfonce dans l’enfer d’un narcissisme psychotique qui le ronge et le détruit, à petit feu.

 

Cet homme est à plaindre ,il est la honte personnifiée, une caricature ,isolé  dans sa propre famille et ,seulement suivi  par des personnes attirées par le spectacle de la déchéance qu’il offre, chaque année ,dans un lieu piétiné par les chevaux de course, où une odeur pestilentielle chatouille leurs narines et, peut-être ,produit des effets secondaires  qui embrouillent leur esprit torturé.

Le conférencier est sans doute ,le premier contaminé, d’où ses délires verbales  qui culminent à l’extase des insultes contre les chefs d’Etat, les Prophètes et encore…

Avec le deuxième Président de la République du Sénégal, mal lui en a pris, car il fut arrêté et jeté en prison.

Une expérience qu’il ne raconte jamais ,lui qui est si prolixe pour inventer des récits abracadabrantesques !

Que s’est-il passé alors ,entre quatre murs ,à la citadelle du silence .Motus et bouche cousue, le conteur -affabulateur devient aphone. Comme par hasard !

 

Affabuler sur des Saints hommes, facile ! Dénigrer des chefs d’Etat, sans risque, jusqu’à un certain point car l’offense au chef de l’Etat au Sénégal, est puni par le Code pénal (article 254 du Code pénal).

Depuis son séjour à Rebeusse, le « Serigne  défroqué »,exerçant la fonction non déclarée d’ « insulteur public »,fait très attention  de ne pas  tomber sous le coup de la loi.

Narcissique détraqué, mais pas candidat au séjour carcéral.

Chat échaudé craint l’eau froide ,n’est-ce pas !

Faut-il donc classer Moustapha Sy parmi les saltimbanques sulfureux de Ndoumbélane ?

Ou lui conseiller une thérapie  au Penccum Fann.

S’il fait rire sous cape ,il n’en reste pas moins porteur d’une langue toxique dont il faut dénoncer la loghorrhée  qui ,comme une lave incandescente ,brûle les consciences innocentes et sème nausée et feu de brousse sur certaines places publiques.

La leçon que lui avait administrée le deuxième Président de la République l’a marqué à vie.

Une piqûre  de rappel pourrait calmer son narcissisme psychotique, puisqu’il a été constaté, après la première dose, une longue période de silence assourdissant.

Comme quoi ,même sans Covid, il y a  des vaccins placébo d’une redoutable efficacité.

Le « Serigne défroqué » est-il demandeur ?

Rien n’est moins sûr !