A moins de 4 mois de l’élection présidentielle, les déclarations nombreuses et sans cohérence des opposants trahissent un désarroi profond qui les mine.
Comment demander un « report » d’un scrutin fixé ,de longue date, et dans le respect du calendrier républicain ?
Tout en sachant bien que c’est peine perdue ,car la présidentielle aura bien lieu, en temps et en heure, comme dirait l’autre.
Mais, pourquoi ces déclarations orchestrées et synchronisées de la part de membres de l’APR, qui font chorus avec les opposants et tirent ainsi ,sur le candidat choisi par le Président Macky Sall, à qui, tous, avaient donné carte blanche pour décider ?
Pour certains ,bien identifiés et connus ,de longue date ,pour leurs basses œuvres de mercenaires et de maîtres-chanteurs ,rien de surprenant .Parce qu’ils n’ont pas eu une audience demandée.
Pour d’autres, il y a la panique de se retrouver déclassés ,demain, et de perdre une situation confortable que ni leur compétence, ni leur engagement réel ,ne justifient.
En vérité ces gens jouent sur tous les tableaux et mangent à tous les râteliers.
D’où certaines allusions à un opposant embastillé.
Faut-il donner beaucoup d’importance à ces gens-là ? Non !
Il suffit de les dénoncer et leur faire savoir que le président Macky Sall dont la perspicacité n’est plus à démontrer, a bien pris son temps pour faire le meilleur choix, Amadou Ba.
Cet homme a la compétence indispensable, l’expérience d’homme d’Etat ,ayant été ministre de l’Economie et des Finances et ministre des Affaires étrangères.
C’est lui qui a réussi le taux de croissance le plus élevé, si l’on peut dire ,obtenu par le Sénégal, lorsqu’il était aux manettes, en tant que ministre de l’Economie et des Finances ,à partir de 2013.
Depuis, le Sénégal est resté le pays qui a la croissance la plus régulière dans le monde entier.
La pandémie de la Covid a certes ralenti la dynamique mais ne l’a pas brisée ,comme ce fut le cas dans la quasi-totalité des pays de la planète.
Amadou Ba a joué sa partition dans cette dynamique enclenchée par le président Macky Sall, avec qui ,il a servi loyalement .
Sorti du gouvernement , à un moment donné, il est resté homme d’Etat, serein, discret et loyal.
Ce comportement digne a certainement été apprécié ,à sa juste valeur et a joué ,à l’heure du choix.
D’autres ,candidats déclarés, aujourd’hui, n’ont pas su garder leur sang-froid et ont été trahis par leur ambition névrotique.
Nul ne peut forcer le destin !
Ce qui se joue, au Sénégal est un combat noble, entre démocrates qui s’en remettent ,à la volonté populaire.
Les critiques objectives, dans une confrontation programme contre programme ,sont souhaitables et même nécessaires.
Elles sont la sève nourricière des joutes politiques entre gentlemen et femmes de qualité, tout aussi respectables.
Les opposants « mercenaires -caméléons » et autres « néo-opposants » et/ou partisans du régime en rupture de ban, sont des personnages caricaturaux, incapables de remplir une chambre avec des militants fiables.
Il faut donc les laisser parler et profiter des médias ,sans programmes et sans journalistes bien formés qui sont un danger pour tout régime démocratique.
La caravane passe…