Le simulacre de dialogue politique sous la houlette de Edem Kodjo, personnage totalement décrédibilisé a accouché d’un soi-disant accord pour l’organisation du scrutin présidentiel en Avril 2018.
Cet « accord » est le dernier subterfuge en date trouvé par Kabila pour retarder son départ du pouvoir. Il est inacceptable car contraire au droit et à la légalité aussi.
Kabila doit quitter le pouvoir en décembre 2016. Il s’y ajoute que la majorité de la population le rejette ainsi que l’opposition crédible regroupée autour du leader historique Etienne Tshisekedi.
De quel droit resterait-il en place jusqu’en avril 2018 ?
Il veut jouer les dictateurs et imposer le fait accompli à ses compatriotes et à la communauté internationale. Ce choix aura des conséquences malheureuses pour son pays et il fera face à ses responsabilités.
Faut-il rappeler que la CPI(cour pénale internationale) a décidé d’ouvrir des enquêtes sur les violences sanglantes des 19 et 20 septembre dans la capitale Kinshasa ?