Plus de soixante ans après avoir accueilli la plus prestigieuse des courses automobiles, le Maroc voudrait réitérer l’expérience. Il doit toutefois faire face à de redoutables concurrents.

Le patron du Formule 1 Group, Stefano Domenicali, a annoncé hier être « en discussion avec l’Afrique du Sud et un pays d’Afrique du Nord, ainsi que deux d’Extrême-Orient », selon le site H24info.ma.  À en croire les médias spécialisés, il s’agirait du Maroc qui avait déjà fait connaître sa volonté d’accueillir le Grand prix en 2019.

Mais cette fois-ci pourrait être la bonne. À en croire le PDG, qui a également fait savoir que « le continent africain pourrait bientôt arbitrer un Grand Prix ».

Le plus grand adversaire pour le Maroc reste toutefois l’Afrique du Sud, qui a été le dernier pays sur le continent à organiser le Grand Prix de F1 en 1993. Le Maroc avait lui aussi abrité cette course en 1958, à Ain Diab (Casablanca),plus précisément et qui a été remporté par le Britannique Stirling Moss.

Pour rappel, le Maroc organise chaque année depuis 2009 dans le cadre du Championnat du monde des voitures de tourisme (WTCC), le Grand Prix automobile de Marrakech. ET depuis 2016, le pays accueille également le « ePrix de Marrakech », épreuve comptant pour le championnat de Formule E FIA.