Jean Ping, candidat malheureux à l’élection présidentielle du 27 août n’arrive pas encore à digérer sa défaite.
Pourtant il confirme l’authenticité de l’enregistrement de sa conversation avec Mamadi Diané, le cerveau des faussaires qui lui ont concocté de faux procès-verbaux, tout en essayant de minimiser en disant qu’il ne répondait que par : « hum ! ». Le problème n’est pas de savoir comment il répondait mais si oui ou non cette conversation entre faussaires a eu lieu ? La réponse est oui.
Et les autorités ivoiriennes qui ont limogé Mamadi Diané dans la foulée ont été bien informées. Elles ont eu des preuves irréfutables pour décider le limogeage de Diané.
Le plus curieux est que la presse française ne creuse pas cette affaire gravissime qui explique la situation politique actuelle tendue. Elle est le résultat des tripatouillages des faussaires qui ont truqué les scores de PING. Ce dernier fait de la surenchère en s’appuyant sur ses résultats « fabriqués ». Mais il sait bien que sa position actuelle est intenable.
Le verdict des urnes ne se conteste pas efficacement devant les caméras. Mais en JUSTICE. Et le temps court.
Faute d’arguments, Ping occupe les médias et joue les présidents virtuels. C’EST RIDICULE. Cet homme qui n’a pas un cheveu de crédibilité sur la tête est entrain de sombrer dans la névrose.
Ses partisans parlent de « recompter les voix », mais QUI AVAIT REJETE LE RECOMPTAGE DES VOIX EN CÔTE D’IVOIRE entre GBAGBO et OUATTARA ? JEAN PING ! Il s’autoproclame président mais ce n’est pas une première au Gabon. Le président Ali Bongo en a vu d’autres. C’est pourquoi il reste serein en attendant que la poussière post-électorale se dissipe.
Il est nécessaire cependant que la presse agisse de manière responsable, dans le respect de la déontologie, tout simplement. Ping ne peut pas être présenté comme « l’homme du changement », lui le cacique qui a été de tous les coups tordus du régime révolu.
Cet homme n’est pas une victime. Le présenter comme tel est une insulte au passé et à l’avenir tout à la fois.
Ping est l’homme d’intérêts dissimulés. Il est sous-traitant. Il veut hypothéquer l’avenir du Gabon et cela n’est pas acceptable. C’est pourquoi son projet a échoué. Ses dérives actuelles sont aussi un chemin d’impasse. Il va finir par se calmer.
Le goût amer de la défaite va lui passer et ses cauchemars vont lentement s’éloigner.
Alors il reviendra à la raison et comprendra qu’être élu par un peuple ne se décrète pas. CELA SE MERITE.