La présidentielle de 2016 se présente sous les meilleures auspices pour Ali Bongo. Ce scrutin à un tour, comme la présidentielle américaine, est du pain béni pour le président sortant, qui n’a plus d’adversaire de taille après la disparition de André Mba Obame.

En panne de renouveau

Jean Ping, avec ses 73 ans ne peut incarner le renouveau, encore moins le changement, lui qui a mangé pendant de longues années dans les mains du pouvoir. Ses coups de menton se sont jusqu’ici soldés par des échecs lamentables.

Une stabilité reconnue jusqu’à l’extérieur

Ali Bongo a un bon bilan et demeure le garant d’une stabilité très enviée dans cette partie du continent.
L’Occident a déjà choisi son camp et une fois n’est pas coutume, ses intérêts coïncident avec ceux des populations concernées qui aspirent à la paix et à la sécurité sans lesquelles aucun développement n’est possible.

 

crédit image : CC Chatham House –