La décision a été prise à l’issue de la première audience au tribunal d’Abidjan convoquée ce lundi de débuter le procès de Simone Gbagbo le 31 mai prochain.
Les avocats de l’ex-première dame ivoirienne ont donc trois semaines supplémentaires pour préparer la défense de leur cliente.
Mme Gbagbo est déjà condamnée à vingt ans de réclusion criminelle et devra faire face cette fois à des accusations gravissimes de crime contre l’humanité.