La Cour pénale internationale (CPI) a publié un communiqué ce lundi 25 avril pour annoncer la mise en branle d’un examen préliminaire sur les violences qui ensanglantent le Burundi depuis 2015.
Il était temps pour peut-être ramener le président Nkurunziza à la raison. Car ses exactions dépassent toutes les bornes et le climat de terreur qu’il fait régner sur son pays n’est pas acceptable. Cette annonce de la CPI va-t-elle aider à accélérer le déploiement des trois mille policiers onusiens sur le territoire ? Wait and see.