Investir en Afrique n’intéresse pas seulement les pays occidentaux et la Chine. Cette dernière supplante aujourd’hui les premiers sur le continent en termes de capitaux engagés.

Nouveaux acteurs de l’investissement en Afrique

Plus récemment des pays du Golfe sont entrés dans le jeu. Ainsi en va-t-il d’Abu Dhabi, doté d’un fonds global de 700 milliards de dollars. C’est sept fois plus que celui du Qatar.

C’est tout naturellement qu’Abu Dhabi cible des secteurs porteurs de croissance, entre autres ceux de l’énergie et de l’immobilier.

Des secteurs d’avenir

En effet, d’ici 2020-2040 les besoins des Africains dans ce domaine seront colossaux et exigeront des investissements massifs pour y répondre.
L’Afrique aura 2 milliards d’habitants dont une majorité de citadins. Les besoins en électricité seront par exemple très importants, et il faudra les satisfaire.
Le monde rural, les grandes industries et le monde de l’entreprise sont également concernés.

Nouvelle Frontière

L’Afrique est bien la nouvelle frontière du XXIème siècle, une terre d’opportunités pour les investissements ouverte sur le monde.

Les ex-puissances coloniales n’ont plus les moyens de conserver de monopoles sur le continent. Et les pays africains sont demandeurs de nouveaux partenaires.

 

Photo : Vue de Cape Town / Le Cap, Afrique du Sud.