Alors que tous les voyants sont au vert pour un décollage économique et social de l’Afrique, le terrorisme islamiste se présente comme l’ultime défi sécuritaire à relever.
L’ensemble du continent est concerné car comme une gangrène l’islamisme radical tend à répandre haine, violence et destruction dans des zones de plus en plus grandes du continent.
Sont concernés le Sahel, l’Afrique de l’Est et du Centre, le foyer incandescent libyen, la Tunisie souillée par des actes de terreur qui mettent l’Egypte en alerte quotidienne. Ils constituent une plaie insoutenable.
Cette violence sème le désespoir et réduit à néant des décennies d’efforts pour enraciner le développement.
Les écoles réduites en cendres, les élèves kidnappés, les champs calcinés, les infrastructures détruites, et par-dessus tout l’insécurité terrifiante, font fuir les populations mais aussi les investisseurs pour installer l’âge des ténèbres dans les territoires conquis par Boko Haram, les Shebabs, et autres groupuscules barbares et criminels.
Le sursaut armé est la seule option pour les patriotes africains.
Le djihadisme est l’œuvre de criminels assoiffés de sang qui doivent être combattus et éliminés. Sans relâche !
Les Shebabs, Boko Haram et autres bandes tersor de l’Afrique sera à ce prix. Une mobilisation et une détermination absolues sont nécessaires.
L’Union Africaine doit donner le la, comme en Somalie, avec des forces africaines bien formées et résolues, dotées d’armements ultra modernes pour faire face victorieusement.
Les terroristes peuvent être anéantis.
Ils prospèrent sur le champ de ruine social que constituent certains terroirs du continent. Là sévissent analphabétisme, obscurantisme et misère.
Cette dernière est bien le terreau où pousse le plus rapidement le djihadisme. Le combattre efficacement c’est aussi se donner les moyens de vaincre la paupérisation scandaleuse et pernicieuse des masses africaines.