Le Roi du Maroc, sa majesté Mohamed VI, les présidents Reccep Tayeb Erdogan de la Turquie, Vaz de Guinée-Bissau et Nana Akufo-Addo du Ghana sont les premiers chefs d’État à féliciter le président Macky Sall pour sa brillante réélection pour un second mandat.
C’est une grande marque d’affection et de respect pour le chef de l’État sénégalais qui a su imposer sa personnalité sur la scène internationale. Sa compétence, son sérieux et son ouverture d’esprit lui ont permis de conquérir le respect des grands ce monde.
Dans les jours qui suivent le service du courrier de la présidence sera, assurément, submergé de courriers provenant des états de tous les continents.
Ce n’est pas un hasard que les présidents de Mauritanie, Mohamed Ould Aziz, de la Côte d’Ivoire Alassane Ouattara, du Libéria George Weah et de Gambie, Adama Barrow aient assisté à la cérémonie d’investiture du candidat Macky Sall.
C’était une première dans les annales de la si longue et riche histoire politique du Sénégal. Ces chefs d’État s’étaient déplacés pour témoigner de leur amitié et de leur considération envers leur ami et frère, Macky Sall.
Ils avaient bien fait, et, aujourd’hui, on peut affirmer qu’ils avaient vu juste. Leur perspicacité politique et les sentiments positifs qui les animaient sont à magnifier.
En Macky Sall, le Sénégal a un leader digne de ce nom qui est reconnu et apprécié comme tel par tous. Ces opposants avaient, au moins, un triple déficit de stature, de vision et de compétence politique. Le combat était déséquilibré et le verdict des urnes est sans appel.
Nous avions écrit dans ces colonnes que Macky Sall ne boxait pas dans la même catégorie qu’eux. Les résultats du scrutin du 24 février l’ont prouvé incontestablement.