En son temps nous avions réduit à néant le livre-tissu de mensonges et de contrevérités de Pierre Péan qui mettait en doute la filiation du président Ali Bongo. L’opposition qui s’y était accroché comme à une bouée de sauvetage politique (ce qui montre son état de délabrement éthique et moral) doit être dans ses petits souliers aujourd’hui que la preuve irréfutable de la présence d’Ali Bongo, photo à l’appui, jeune élève de l’école primaire à Alès est apportée par le journal français « Le MIDI LIBRE ».
Ali Bongo n’a pas le don d’ubiquité : il ne pouvait être au Biafra et à Alès.
D’ailleurs le centre d’Etat civil de Nantes avait déjà publié les documents incontestables et incontestés sur le fils de Omar Bongo Ondimba.
Les preuves du « MIDI LIBRE » confortent tout cela et réduisent à néant les spéculations lamentables de personnes indignes de se présenter comme des leaders.
Aujourd’hui la honte devrait les étouffer. Pierre Péan le mercenaire reconnaît que son enquête est remise totalement en cause. Mais il sait bien qu’il n’y a jamais eu d’enquête mais un bidonnage mesquin qui ternit à jamais son image.
Quant aux opposants gabonais ils sont la risée de la presse africaine.