L’opposition l’exigeait ; le pouvoir le voulait et l’USAID l’a financé.
Au bout de trois mois de travaux, les experts internationaux choisis par appel à candidatures, ont produit un rapport positif, en tant qu’il confirme, « la cohérence et la fiabilité du fichier électoral ». Comme l’avait déjà constaté et proclamé un audit antérieur réalisé par d’autres experts internationaux, avec un financement de l’Union européenne.
Ce premier audit, avant la Présidentielle de 2019, avait conclu que le « fichier électoral était fiable à 98% ».
Les faits sont têtus et les accusations de fraude, fallacieuses !
Mais l’opposition déboussolée, ses fantasmes de fraudes évaporés, se réfugie dans le déni de réalité et conteste les résultats de l’audit. Sans pouvoir apporter aucune preuve pour soutenir ses accusations. Parce qu’il n’y en a pas.
Les questions soulevées par les experts liées aux inscriptions avec des extraits de naissance, résultent de constats objectifs qui ne remettent pas en cause la fiabilité du fichier.
D’abord parce que c’est légal ; ensuite, cela ne concerne qu’un nombre très limité de citoyens.
Les inscriptions à plus de 86% ayant été faites avec les cartes d’identité biométriques CEDEAO pour lesquelles, il n’y a pas débat.
Pas de doublons, pas d’électeurs fictifs ! RIEN d’anormal, encore moins de frauduleux !
Cela n’a pas l’heur de plaire à l’opposition qui voudrait, peut-être, plier la réalité à ses désidérata ?
Ce n’est pas de la mauvaise foi, mais l’obstination d’incrédulité, le refus du Réel, le manque de sincérité, bref l’irresponsabilité chevillée au corps.
Ces gens là ne sont pas des démocrates et la Communauté internationale en a maintenant une preuve supplémentaire, avec cette attitude nihiliste vis à vis même du travail d’experts, totalement indépendants, qui ont abattu un travail rigoureux.
La boucle est bouclée en ce qui concerne l’audit du fichier électoral ; restent les nouvelles inscriptions pour les citoyens qui viennent d’avoir la majorité légale ; mais aussi, les radiations des personnes décédées, notamment et celles ayant perdu leurs droits civiques suite à des condamnations judiciaires spécifiques.
Tout cela demande un certain temps et se fera comme l’exige la Loi.
L’opposition est dorénavant face à elle-même et à des choix politiques décisifs.
L’Etat a fait son devoir et démontré sa volonté de respecter les principes démocratiques.
Quant à ce qui concerne les recommandations formulées par les experts, elles ne s’imposent à personne.
La Constitution est la référence absolue. Elle garantit l’exercice de la démocratie, dans un climat de paix, de sérénité, dans le respect des normes juridiques librement choisis par le peuple sénégalais.