Chevaliers blancs autoproclamés de la traque des biens mal acquis, les responsables de l’ONG Transparency International sont beaucoup moins volubiles lorsqu’il s’agit de l’origine des financements qu’ils reçoivent.

 

 

Des financements anglo-saxons

Pourquoi jeter un voile pudique sur le fait que George Soros et la société Boeing font partie de leurs généreux donateurs ?
On comprend ainsi pourquoi Transparency ne dit rien qui écorne les intérêts américains et anglo-saxons en général.

Acharnement sur les dirigeants en Afrique

Il est permis aussi de s’interroger sur l’acharnement contre les dirigeants africains.
Seraient-ils les seuls coupables d’enrichissement illicite. Les monarques des pays arabes et les oligarques russes sont-ils eux blancs comme neige ?
Qui peut le croire ? La corruption existe partout.

La triste vérité est que le manque de courage pousse à ménager les princes arabes et les milliardaires de l’Est.

Transparence à géométrie variable et crédibilité

Pour être crédible, la traque des biens mal acquis doit concerner tout le monde sans exception, y compris les dirigeants occidentaux.
Il faut retourner à Transparency International ses propres principes et mettre l’ONG face à ses contradictions.

Quand on prône la transparence, on se doit de l’appliquer d’abord et avant tout à soi-même.